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Quatre manières de devenir un bon leader
Martine Turenne
3 décembre 2018
Carrière
3 minutes à lire
285
Pour devenir un leader à l'ère numérique, oubliez les anciennes méthodes et dirigez... avec le coeur et la volonté !
Quand on regarde la société aujourd'hui et qu'on revient cent ans en arrière, il est difficile de trouver quelque chose qui n'a pas changé. Hormis le fromage Velveeta, inventé en 1918, écrit Marcel Schwantes président et fondateur de Leadership from the core, pour le site Inc.
Sérieusement, poursuit-il, la mondialisation, la science, la médecine et la technologie ont évolué à un rythme fou. « Mais ce qui n'a pas évolué depuis la révolution industrielle, ce sont les vieilles croyances dans les pratiques de gestion », écrit-il.
Et c’est fort dommage.
Le nouveau livre de la coach et auteure, Heather Hanson Wickman apporte un éclairage nouveau. Dans The Evolved Executive: The Future of Work Is Love in Action, Wickman estime que pour devenir véritablement un leader à l'ère numérique, il faut d’abord s'affranchir des croyances et des pratiques rigides qui ont été conçues pour fonctionner il y a plus de cent ans.
Il faut devenir plus humain.
En savoir plus:
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Le top 8 des mots qu’un vrai leader utilise dans son quotidien
Pour aider les dirigeants à communiquer avec le cœur et la volonté - Wickman vous invite à suivre ces quatre actions:
Notre besoin de connexion est aussi fondamental que notre besoin de nourriture et d’eau, souligne Wickman. Trop de dirigeants pensent qu’ils ne peuvent trop se rapprocher des membres de leur équipe. Cette pensée est à courte vue, dit Wickman. « Les individus recherchent beaucoup plus qu'un chèque de paye. Nous recherchons la connexion et l'appartenance humaines. Nous voulons travailler pour un leader et une organisation psychologiquement enrichissante.»
Vous devez commencer par changer la dynamique en vous-même avant de vous attendre à voir un changement en dehors de vous-même. « Lorsque nous prenons nos responsabilités et que nous nous changeons nous-mêmes, les gens autour de nous commencent également à changer - c'est particulièrement vrai pour les leaders. » Il n'y a pas de raccourci vers le leadership, écrit Wickman.
Pour évoluer dans un environnement aussi rapide et imprévisible, les dirigeants doivent renoncer au besoin de certitude et adopter l'ambiguïté. En d’autres termes, ils doivent renoncer à la nécessité de contrôler les résultats et choisir de faire confiance - en eux-mêmes et en leurs équipes, ainsi qu’en leur capacité à s’adapter. Et ce, même s’ils n’ont pas toutes les réponses.
En offrant aux employés des opportunités de trouver une signification à leur travail, ainsi qu’un but, et en leur offrant des parcours qui font appel à leurs motivations les plus profondes, vous développez leur loyauté et leur engagement, estime Heather Hanson Wickman.
«Nous sommes tous passés par là, conclut Marcel Schwantes. Nous avons tous vécu la douleur, le rejet, le stress et l’anxiété, ainsi que la peur », tandis que nous étions exposés à des cultures de travail toxiques.
« En terminant, ne craignez pas que les théories exprimées dans The Evolved Executive soient le produit d’hallucinations provoquées par la drogue. Amener plus d’amour et d’humanité au travail (pour un avantage concurrentiel, bien sûr) est essentiel. »
Quand on regarde la société aujourd'hui et qu'on revient cent ans en arrière, il est difficile de trouver quelque chose qui n'a pas changé. Hormis le fromage Velveeta, inventé en 1918, écrit Marcel Schwantes président et fondateur de Leadership from the core, pour le site Inc.
Sérieusement, poursuit-il, la mondialisation, la science, la médecine et la technologie ont évolué à un rythme fou. « Mais ce qui n'a pas évolué depuis la révolution industrielle, ce sont les vieilles croyances dans les pratiques de gestion », écrit-il.
Et c’est fort dommage.
Le nouveau livre de la coach et auteure, Heather Hanson Wickman apporte un éclairage nouveau. Dans The Evolved Executive: The Future of Work Is Love in Action, Wickman estime que pour devenir véritablement un leader à l'ère numérique, il faut d’abord s'affranchir des croyances et des pratiques rigides qui ont été conçues pour fonctionner il y a plus de cent ans.
Il faut devenir plus humain.
En savoir plus:
Comment devenir un leader positif dans votre entreprise
4 questions que chaque nouveau leader doit se poser
Comment développer son leadership
Le top 8 des mots qu’un vrai leader utilise dans son quotidien
Pour aider les dirigeants à communiquer avec le cœur et la volonté - Wickman vous invite à suivre ces quatre actions:
1. Connectez
Notre besoin de connexion est aussi fondamental que notre besoin de nourriture et d’eau, souligne Wickman. Trop de dirigeants pensent qu’ils ne peuvent trop se rapprocher des membres de leur équipe. Cette pensée est à courte vue, dit Wickman. « Les individus recherchent beaucoup plus qu'un chèque de paye. Nous recherchons la connexion et l'appartenance humaines. Nous voulons travailler pour un leader et une organisation psychologiquement enrichissante.»
2. Changez d’abord vous-mêmes
Vous devez commencer par changer la dynamique en vous-même avant de vous attendre à voir un changement en dehors de vous-même. « Lorsque nous prenons nos responsabilités et que nous nous changeons nous-mêmes, les gens autour de nous commencent également à changer - c'est particulièrement vrai pour les leaders. » Il n'y a pas de raccourci vers le leadership, écrit Wickman.
3. Faites-vous confiance
Pour évoluer dans un environnement aussi rapide et imprévisible, les dirigeants doivent renoncer au besoin de certitude et adopter l'ambiguïté. En d’autres termes, ils doivent renoncer à la nécessité de contrôler les résultats et choisir de faire confiance - en eux-mêmes et en leurs équipes, ainsi qu’en leur capacité à s’adapter. Et ce, même s’ils n’ont pas toutes les réponses.
4. Développez la loyauté en donnant un sens au travail
En offrant aux employés des opportunités de trouver une signification à leur travail, ainsi qu’un but, et en leur offrant des parcours qui font appel à leurs motivations les plus profondes, vous développez leur loyauté et leur engagement, estime Heather Hanson Wickman.
Guérir la crise de la souffrance au travail
«Nous sommes tous passés par là, conclut Marcel Schwantes. Nous avons tous vécu la douleur, le rejet, le stress et l’anxiété, ainsi que la peur », tandis que nous étions exposés à des cultures de travail toxiques.
« En terminant, ne craignez pas que les théories exprimées dans The Evolved Executive soient le produit d’hallucinations provoquées par la drogue. Amener plus d’amour et d’humanité au travail (pour un avantage concurrentiel, bien sûr) est essentiel. »
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Publié il y a 16 jours
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