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Sean Sabino : une réorientation de carrière qui en a valu la peine !
Florence Breton
5 juillet 2018
Carrière
4 minutes à lire
315
Être payé pour créer du fun, ça n’a pas de prix, dit ce développeur d’un studio montréalais.
Sean Sabino n’était plus stimulé dans son emploi du secteur des TI. Il a étudié en programmation de jeu vidéo, et depuis, il est comblé professionnellement en tant que développeur pour le studio Triple Boris.
Quel est votre parcours ?
Il y a environ trois ans, je me suis rendu compte que j'avais déjà plafonné dans ma carrière. Il n'y avait pas vraiment d'autres portes ouvertes dans mon métier. Je travaillais en technologie de l'information en tant que superviseur dans un département de soutien technique. Il y avait un déséquilibre entre mon niveau de stress et mon bonheur au travail.
Je cherchais quelque chose qui pourrait m'ouvrir plus de portes et m'assurer que chaque jour je serais heureux de rentrer au travail. J'ai trouvé l'AEC en programmation de jeux vidéo au Collège Bois-de-Boulogne. C'est à travers ce programme-là que j'ai rencontré Simon Dansereau [le fondateur de Triple Boris], qui était mon professeur dans plusieurs cours.
En quoi consiste votre travail de développeur ?
Ce qui est le fun avec cet emploi-là, c'est que ça ouvre beaucoup de portes pour toucher à plein de choses. Je peux me retrouver une semaine dans un gros studio, et retourner à la centrale pour travailler sur des projets internes la semaine d'après. On peut toucher à des petits projets indie, comme on peut toucher à des AAA. Des fois, ça va être du travail d'intégration. Présentement, je travaille sur du UI. Quand je travaille pour de plus petits contrats, je peux me retrouver à être producteur, designer et programmeur en même temps. Il y a vraiment beaucoup de variété lorsqu'on travaille dans un petit studio.
Qu’aimez-vous le plus de votre travail ?
J'aime beaucoup la variété des projets sur lesquels on peut travailler. Il y a aussi toujours beaucoup à apprendre. C'est un métier où la seule limite, c'est l'imagination. On ne sait jamais quel sera le prochain projet. J'aime aussi le sens de la communauté dans cette industrie. C'est quelque chose que je n'ai vu nul part ailleurs. Tous les rassemblements, les événements, la façon dont tout le monde se supporte. Ce ne sont pas seulement les indies qui s'entraident. Les gros studios sont là pour supporter et aider les nouveaux. C'est vraiment beau de voir que tout le monde est impliqué.
Maintenant que vous êtes dans l’industrie, est-ce que ça correspond à ce que vous souhaitiez en changeant de carrière ?
Ça surpasse mes attentes. Je savais que ce serait un step up, mais honnêtement, je ne m'attendais pas à ça. C'est vraiment valorisant comme emploi. On crée du fun. Être payé pour créer du fun, il ne faut pas prendre ça pour acquis. Je me considère chanceux de faire partie de ça.
Quelles qualités sont nécessaires pour faire ce travail ?
Il faut être flexible, avoir une bonne logique, mais il y a aussi la créativité qui entre en jeu. Ce n'est pas juste d'être capable de dire A+B = C. Des fois, il faut passer par l'alphabet au complet pour se rendre à C et trouver des solutions créatives à des problèmes.
Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un en début de carrière ?
Comme dans tous les métiers, il faut travailler fort. C'est une façon claire d'être pris en considération pour un emploi, mais ce n'est pas juste le travail qui va te permettre de te démarquer. Il y a des gens qui ont beaucoup de talent, mais s'ils sont toujours négatifs et qu'ils descendent le moral de l'équipe, ça ne va pas durer longtemps. On a besoin de gens compétents qui sont capable de gérer le stress en gardant leur légèreté, même quand on est dans le crunch time.
Est-ce qu’il y a un défi professionnel que tu rêves de réaliser ?
Étant donné que je suis dans l'industrie depuis peu de temps, le seul et premier but que j'ai pour l'instant et probablement pour les prochaines années, c'est juste de m'améliorer comme programmeur en général. Je me rends compte que c'est une carrière dans laquelle je ne vais jamais arrêter d'apprendre. Au début, il y a une courbe d'apprentissage assez intense, et plus spécifiquement pour quelqu'un dans ma position qui sort d'un AEC qui a duré un an dans une industrie qui compte beaucoup de gens qui sont allés à l'université et qui ont une maîtrise.
Pourquoi Triple Boris est un bon employeur ?
Il y a les valeurs qui correspondent bien avec les miennes. Le sentiment de famille dans l'industrie est déjà très présent, et encore plus chez Triple Boris. Comme dans toute compagnie, il y a une certaine hiérarchie, mais au final, on se sent tous égaux. C'est quelque chose qu'on ne retrouve pas toujours dans une compagnie. C'est un lieu de travail où on est content de rentrer, de faire un effort supplémentaire, d’organiser des événements la fin de semaine. Ce sentiment de faire partie d'une grande famille, c'est quelque chose qui me manquait dans mes autres emplois.
Sean Sabino n’était plus stimulé dans son emploi du secteur des TI. Il a étudié en programmation de jeu vidéo, et depuis, il est comblé professionnellement en tant que développeur pour le studio Triple Boris.
Quel est votre parcours ?
Il y a environ trois ans, je me suis rendu compte que j'avais déjà plafonné dans ma carrière. Il n'y avait pas vraiment d'autres portes ouvertes dans mon métier. Je travaillais en technologie de l'information en tant que superviseur dans un département de soutien technique. Il y avait un déséquilibre entre mon niveau de stress et mon bonheur au travail.
Je cherchais quelque chose qui pourrait m'ouvrir plus de portes et m'assurer que chaque jour je serais heureux de rentrer au travail. J'ai trouvé l'AEC en programmation de jeux vidéo au Collège Bois-de-Boulogne. C'est à travers ce programme-là que j'ai rencontré Simon Dansereau [le fondateur de Triple Boris], qui était mon professeur dans plusieurs cours.
En quoi consiste votre travail de développeur ?
Ce qui est le fun avec cet emploi-là, c'est que ça ouvre beaucoup de portes pour toucher à plein de choses. Je peux me retrouver une semaine dans un gros studio, et retourner à la centrale pour travailler sur des projets internes la semaine d'après. On peut toucher à des petits projets indie, comme on peut toucher à des AAA. Des fois, ça va être du travail d'intégration. Présentement, je travaille sur du UI. Quand je travaille pour de plus petits contrats, je peux me retrouver à être producteur, designer et programmeur en même temps. Il y a vraiment beaucoup de variété lorsqu'on travaille dans un petit studio.
Qu’aimez-vous le plus de votre travail ?
J'aime beaucoup la variété des projets sur lesquels on peut travailler. Il y a aussi toujours beaucoup à apprendre. C'est un métier où la seule limite, c'est l'imagination. On ne sait jamais quel sera le prochain projet. J'aime aussi le sens de la communauté dans cette industrie. C'est quelque chose que je n'ai vu nul part ailleurs. Tous les rassemblements, les événements, la façon dont tout le monde se supporte. Ce ne sont pas seulement les indies qui s'entraident. Les gros studios sont là pour supporter et aider les nouveaux. C'est vraiment beau de voir que tout le monde est impliqué.
Maintenant que vous êtes dans l’industrie, est-ce que ça correspond à ce que vous souhaitiez en changeant de carrière ?
Ça surpasse mes attentes. Je savais que ce serait un step up, mais honnêtement, je ne m'attendais pas à ça. C'est vraiment valorisant comme emploi. On crée du fun. Être payé pour créer du fun, il ne faut pas prendre ça pour acquis. Je me considère chanceux de faire partie de ça.
Quelles qualités sont nécessaires pour faire ce travail ?
Il faut être flexible, avoir une bonne logique, mais il y a aussi la créativité qui entre en jeu. Ce n'est pas juste d'être capable de dire A+B = C. Des fois, il faut passer par l'alphabet au complet pour se rendre à C et trouver des solutions créatives à des problèmes.
Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un en début de carrière ?
Comme dans tous les métiers, il faut travailler fort. C'est une façon claire d'être pris en considération pour un emploi, mais ce n'est pas juste le travail qui va te permettre de te démarquer. Il y a des gens qui ont beaucoup de talent, mais s'ils sont toujours négatifs et qu'ils descendent le moral de l'équipe, ça ne va pas durer longtemps. On a besoin de gens compétents qui sont capable de gérer le stress en gardant leur légèreté, même quand on est dans le crunch time.
Est-ce qu’il y a un défi professionnel que tu rêves de réaliser ?
Étant donné que je suis dans l'industrie depuis peu de temps, le seul et premier but que j'ai pour l'instant et probablement pour les prochaines années, c'est juste de m'améliorer comme programmeur en général. Je me rends compte que c'est une carrière dans laquelle je ne vais jamais arrêter d'apprendre. Au début, il y a une courbe d'apprentissage assez intense, et plus spécifiquement pour quelqu'un dans ma position qui sort d'un AEC qui a duré un an dans une industrie qui compte beaucoup de gens qui sont allés à l'université et qui ont une maîtrise.
Pourquoi Triple Boris est un bon employeur ?
Il y a les valeurs qui correspondent bien avec les miennes. Le sentiment de famille dans l'industrie est déjà très présent, et encore plus chez Triple Boris. Comme dans toute compagnie, il y a une certaine hiérarchie, mais au final, on se sent tous égaux. C'est quelque chose qu'on ne retrouve pas toujours dans une compagnie. C'est un lieu de travail où on est content de rentrer, de faire un effort supplémentaire, d’organiser des événements la fin de semaine. Ce sentiment de faire partie d'une grande famille, c'est quelque chose qui me manquait dans mes autres emplois.
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