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L’employeur de la semaine : Éducaloi!
Florence Tison
31 janvier 2019
Carrière, TI, Web, Actualités
4 minutes à lire
287
Éducaloi a la noble mission d’éduquer tous les citoyens à propos du droit et de la loi au Québec… et cherche à recruter un coordonnateur de projet!
L’organisme de bienfaisance Éducaloi aura 20 ans l’an prochain, et n’a jamais été aussi populaire... ni aussi important pour les citoyens. « Depuis cinq à six ans, nous avons cinq millions de visites par année! » souligne fièrement la directrice générale Ariane Charbonneau.
En plus d’être une source d’information juridique très crédible, Éducaloi est un milieu de travail enrichissant et généreux. Nous en avons parlé avec sa directrice générale.
C’est un organisme québécois qui fait en sorte d’expliquer la loi, les droits et les obligations des citoyens. Nous avons développé au fil des années une expertise en communication claire et efficace en droit.
Il y a plein de monde qui essaie de donner des informations juridiques. Éducaloi explique la loi aux citoyens de façon gratuite, en langage clair, surtout par son site web mais aussi d’autres façons.
On peut autant travailler un article web qu’on peut travailler la vidéo, les infographies ou des guides d’information.
Oui, mais ce n’est pas du tout la même chose par exemple pour la communauté autochtone, ou la communauté itinérante, ou la communauté anglophone, qui est extrêmement particulière. On aime bien dire qu’on ne fait pas de la traduction, mais de l’adaptation!
Le travail d’Éducaloi est de comprendre comment il faut bien maîtriser le destinataire à qui on s’adresse, le persona qui est visé par les contenus qu’on développe.
Une jeune fille mère qui vient chercher de l’information dans un groupe d’accueil, une victime de violence conjugale ou la simple maman qui vit une séparation et qui se demande c’est quoi ses droits comme mère, c’est le même droit qui s’applique, mais ce n’est pas du tout la même situation!
Nos contenus sont aussi souvent en lien avec l’actualité juridique. Les gens ont par exemple des questions sur l’affaire Rozon, ou se demandent c’est quoi la cyberintimidation. Ça peut être aussi banal que dans le temps du renouvellement des baux en mars : les gens ont reçu un avis de leur propriétaire, « Qu’est-ce qu’on fait avec ça? ».
C’est évident qu’il faut qu’on soit là pour répondre aux questions.
On est pas mal chanceux! On est dans un édifice du Vieux-Montréal, pas loin des stations de métro.
Les gens sont surtout sur un horaire de 35 heures par semaine et commencent à trois semaines de vacances par année, des fois quatre dépendant de l’expérience. Tout le monde a 18 jours de congés fériés, même les contractuels.
Il y a possibilité d’avoir accès au soutien pour le REER après deux ans, et après un an on a accès aux assurances collectives. Dans le milieu communautaire, c’est vraiment pas typique!
Il y a de la flexibilité sur le télétravail et une extrêmement grande autonomie dans les dossiers. Il faut ça, que les gens aient de l’autonomie pour avoir envie de développer leurs trucs!
On est une vingtaine de personnes, autour de 25 : des juristes, des avocats, des gens en communication, en journalisme, en TI, en éducation, en administration… C’est une belle équipe de passionnés multidisciplinaires! Les gens sont dans une approche de collaboration et de travail d’équipe. On ne travaille vraiment pas en silos.
Chez Éducaloi, on fait rencontrer des experts en droit, en communication et en éducation pour développer les meilleurs contenus possibles pour les gens qui n’ont pas de bac en droit.
Les coordos de projets peuvent être avocats, mais pas nécessairement. Ils doivent mener à bien les projets d’information et d’éducation juridique. Il faut vraiment être habitué et volontaire de travailler avec un esprit de coopération et de travail d’équipe.
Ça prend une certaine drive comme coordo de projet. Il faut autant savoir bien aller chercher le financement dont on a besoin, que maintenir de bons lien autant avec les partenaires financiers que clientèle à qui ça va servir.
Il faut être à l’écoute, bâtir des liens de confiance, et ensuite chercher à l’interne les collègues qu’il faut pour que le projet aille bien. Il faut savoir bien exposer et développer l’idée pour que la proposition suscite l’enthousiasme.
Aussi, je sais qu’on va avoir besoin d’étudiants en communication MAINTENANT, si il y a des jeunes intéressés à un poste temps plein comme étudiant! Pendant l’année, je dois avoir sûrement une vingtaine d’étudiants qui passent chez nous, autant en droit qu’en communication, et en communication on a un urgent besoin!
L’organisme de bienfaisance Éducaloi aura 20 ans l’an prochain, et n’a jamais été aussi populaire... ni aussi important pour les citoyens. « Depuis cinq à six ans, nous avons cinq millions de visites par année! » souligne fièrement la directrice générale Ariane Charbonneau.
En plus d’être une source d’information juridique très crédible, Éducaloi est un milieu de travail enrichissant et généreux. Nous en avons parlé avec sa directrice générale.
Parlez-nous de la mission d’Éducaloi. Que fait votre organisme, précisément?
C’est un organisme québécois qui fait en sorte d’expliquer la loi, les droits et les obligations des citoyens. Nous avons développé au fil des années une expertise en communication claire et efficace en droit.
Il y a plein de monde qui essaie de donner des informations juridiques. Éducaloi explique la loi aux citoyens de façon gratuite, en langage clair, surtout par son site web mais aussi d’autres façons.
On peut autant travailler un article web qu’on peut travailler la vidéo, les infographies ou des guides d’information.
Éducaloi vise donc Monsieur-Madame tout le monde?
Oui, mais ce n’est pas du tout la même chose par exemple pour la communauté autochtone, ou la communauté itinérante, ou la communauté anglophone, qui est extrêmement particulière. On aime bien dire qu’on ne fait pas de la traduction, mais de l’adaptation!
Le travail d’Éducaloi est de comprendre comment il faut bien maîtriser le destinataire à qui on s’adresse, le persona qui est visé par les contenus qu’on développe.
Une jeune fille mère qui vient chercher de l’information dans un groupe d’accueil, une victime de violence conjugale ou la simple maman qui vit une séparation et qui se demande c’est quoi ses droits comme mère, c’est le même droit qui s’applique, mais ce n’est pas du tout la même situation!
Nos contenus sont aussi souvent en lien avec l’actualité juridique. Les gens ont par exemple des questions sur l’affaire Rozon, ou se demandent c’est quoi la cyberintimidation. Ça peut être aussi banal que dans le temps du renouvellement des baux en mars : les gens ont reçu un avis de leur propriétaire, « Qu’est-ce qu’on fait avec ça? ».
C’est évident qu’il faut qu’on soit là pour répondre aux questions.
Outre le côté noble de la mission d’Éducaloi, quels sont les avantages à travailler chez vous?
On est pas mal chanceux! On est dans un édifice du Vieux-Montréal, pas loin des stations de métro.
Les gens sont surtout sur un horaire de 35 heures par semaine et commencent à trois semaines de vacances par année, des fois quatre dépendant de l’expérience. Tout le monde a 18 jours de congés fériés, même les contractuels.
Il y a possibilité d’avoir accès au soutien pour le REER après deux ans, et après un an on a accès aux assurances collectives. Dans le milieu communautaire, c’est vraiment pas typique!
Il y a de la flexibilité sur le télétravail et une extrêmement grande autonomie dans les dossiers. Il faut ça, que les gens aient de l’autonomie pour avoir envie de développer leurs trucs!
Parlez-moi de l’équipe d’Éducaloi.
On est une vingtaine de personnes, autour de 25 : des juristes, des avocats, des gens en communication, en journalisme, en TI, en éducation, en administration… C’est une belle équipe de passionnés multidisciplinaires! Les gens sont dans une approche de collaboration et de travail d’équipe. On ne travaille vraiment pas en silos.
Chez Éducaloi, on fait rencontrer des experts en droit, en communication et en éducation pour développer les meilleurs contenus possibles pour les gens qui n’ont pas de bac en droit.
Vous cherchez en ce moment un coordonnateur de projet pour compléter l’équipe. Avez-vous un profil précis en tête?
Les coordos de projets peuvent être avocats, mais pas nécessairement. Ils doivent mener à bien les projets d’information et d’éducation juridique. Il faut vraiment être habitué et volontaire de travailler avec un esprit de coopération et de travail d’équipe.
Ça prend une certaine drive comme coordo de projet. Il faut autant savoir bien aller chercher le financement dont on a besoin, que maintenir de bons lien autant avec les partenaires financiers que clientèle à qui ça va servir.
Il faut être à l’écoute, bâtir des liens de confiance, et ensuite chercher à l’interne les collègues qu’il faut pour que le projet aille bien. Il faut savoir bien exposer et développer l’idée pour que la proposition suscite l’enthousiasme.
Aussi, je sais qu’on va avoir besoin d’étudiants en communication MAINTENANT, si il y a des jeunes intéressés à un poste temps plein comme étudiant! Pendant l’année, je dois avoir sûrement une vingtaine d’étudiants qui passent chez nous, autant en droit qu’en communication, et en communication on a un urgent besoin!
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