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Top 10 des films d'IA à voir ou à revoir
Apolline Caron-ottavi
1 mars 2019
Actualités, IA
4 minutes à lire
600
L’intelligence artificielle (IA) est incroyablement plus avancée sur nos écrans que dans le réel! Ces 10 films nous montrent-ils le futur du machine learning?
Un classique des classiques. Projet ultra-ambitieux, qui se déroule de l’apparition de l’humanité à un futur lointain, en passant par l’espace-temps mystérieux d’un trou noir. Le chef d’oeuvre de Stanley Kubrick n’a pas pour sujet principal l’IA, puisqu’il fourmille d’idées, de réflexions et d’univers variés, mais son personnage le plus marquant et le plus culte demeure l’ordinateur-robot-gestionnaire d’engin spatial HAL 9000. Un précurseur de l’IA au cinéma, qui a déjà des idées bien à lui… pour le meilleur et pour le pire!
Eh oui, la série de HBO qui fait des ravages en ce moment n’est pas partie de rien! À l’origine, il y a ce film de Michael Crichton, qui n’est autre que l’auteur (entre autres) du livre Jurassic Park. Vous reconnaissez la thématique parc d’attraction qui tourne mal? Crichton dresse là encore une critique du divertissement à tout prix, dans un faux western qui tourne au jeu de massacre jubilatoire - mais aussi très angoissant.
Produit par Disney, ce film de Steven Lisberger vaut le coup d’être revisité! Un précurseur, tant dans la forme que dans le contenu : premier film qui a recours à l’imagerie informatique pour créer un monde virtuel (et non seulement certains effets spéciaux comme dans Star Wars ou Westworld), ce film d’aventure futuriste à l’inventivité visuelle démente fantasme un avenir bouleversé par l’informatique et l’intelligence artificielle… alors qu’à l’époque, les ordinateurs étaient encore assez rudimentaires. Et pour ceux qui veulent poursuivre, le film a fait l’objet d’une suite, Tron: Legacy, en 2010!
En faisant joujou sur son ordinateur, le jeune geek David, entre en communication avec un logiciel super intelligent des forces armées américaines qui guette toute menace nucléaire. L’adolescent pense être face à une sorte de tic tac toe et va bel et bien déclencher une troisième guerre mondiale. Tic, tac, tic, tac… Ce film de John Badham est une immense tranche de plaisir typique des années 1980. Du même cinéaste, on vous recommande aussi le craquant Short Circuit, avec l’adorable Number 5, qui est un peu l’ancêtre de Wall-E.
Plutôt que son remake américain de 2017, on vous recommande l’original japonais, un film d’animation réalisé par Mamoru Oshii. Adapté d’un manga, ce conte cyberpunk imagine un monde de 2029 où la frontière entre l’humain et la technologie a été abolie. Cyborgs cybercriminels, réflexions métaphysique et maestria visuelle sont au rendez-vous. Culte!
Un incontournable sur le sujet, assurément. Stanley Kubrick avait travaillé sur le projet avant que Steven Spielberg n’en reprenne les rênes. Dans le futur, le réchauffement climatique fait des ravages, et humains et androïdes ultra-perfectionnés cohabitent, ces derniers étant aux services des humains. Une famille adopte un enfant robot pour compenser l’absence de son fils dans le coma… jusqu’à ce que celui-ci se réveille. Un film qui questionne profondément et douloureusement l’IA à travers le spectre de la conscience et des sentiments.
L’intelligence artificielle la plus sympathique, et un des meilleurs films de Pixar, ici réalisé par Andrew Stanton. Wall-E est le dernier être “vivant” sur une Terre ravagée par les hommes. Son quotidien de ramasseur d’ordure va être bouleversé par l’arrivée d’Eve, alter-ego hi-tech et beaucoup plus design. À voir et à revoir immodérément, avec ou sans enfants, ne serait-ce que pour sa première demi-heure sans dialogue d’une beauté à couper le souffle.
Dans un futur proche, un duo d’amis qui viennent tous deux de divorcer de leurs conjoints trouvent un refuge affectif en installant un nouveau système d’exploitation muni d’une intelligence artificielle qu’ils personnalisent. Le héros, Théodore, va ainsi tomber amoureux de Samantha, créature virtuelle. Mais celle-ci dépasse bien vite les capacités de l’être humain et se désintéresse de celui-ci… Avec sensibilité, le film de Spike Jonze questionne l’avenir des émotions et du romantisme à l’ère de l’IA.
Le premier long métrage d’Alex Garland (Annihilation) est un vrai coup de maître. Le jeune Caleb, programmeur informatique dans une grosse compagnie, est invité par son patron dans sa résidence pour participer à une sorte de test de Turing : il va être confrontée à Ava, un chef d’oeuvre d’intelligence artificielle qui a tout d’une vraie femme, et va devoir déterminer si celle-ci a une conscience. Un huis clos magnifiquement réalisé et prenant de bout en bout, qui aborde subtilement les grandes questions soulevées par l’IA.
Sympathique vision de l’avenir de l’aidant artificiel, ce film peint un portrait tendre des liens qu’on peut développer avec l’IA. Un ancien cambrioleur, solitaire et souffrant des premiers stades de la démence, reçoit un robot infirmier en cadeau de la part de son fils. Frank et Robot nouent une relation en dents de scie qui amènera le premier à prendre ses médicaments sans rechigner, et le second à s’initier au vol de bijoux.
2001, A Space Odyssey (1968)
Un classique des classiques. Projet ultra-ambitieux, qui se déroule de l’apparition de l’humanité à un futur lointain, en passant par l’espace-temps mystérieux d’un trou noir. Le chef d’oeuvre de Stanley Kubrick n’a pas pour sujet principal l’IA, puisqu’il fourmille d’idées, de réflexions et d’univers variés, mais son personnage le plus marquant et le plus culte demeure l’ordinateur-robot-gestionnaire d’engin spatial HAL 9000. Un précurseur de l’IA au cinéma, qui a déjà des idées bien à lui… pour le meilleur et pour le pire!
Westworld (1973)
Eh oui, la série de HBO qui fait des ravages en ce moment n’est pas partie de rien! À l’origine, il y a ce film de Michael Crichton, qui n’est autre que l’auteur (entre autres) du livre Jurassic Park. Vous reconnaissez la thématique parc d’attraction qui tourne mal? Crichton dresse là encore une critique du divertissement à tout prix, dans un faux western qui tourne au jeu de massacre jubilatoire - mais aussi très angoissant.
Tron (1982)
Produit par Disney, ce film de Steven Lisberger vaut le coup d’être revisité! Un précurseur, tant dans la forme que dans le contenu : premier film qui a recours à l’imagerie informatique pour créer un monde virtuel (et non seulement certains effets spéciaux comme dans Star Wars ou Westworld), ce film d’aventure futuriste à l’inventivité visuelle démente fantasme un avenir bouleversé par l’informatique et l’intelligence artificielle… alors qu’à l’époque, les ordinateurs étaient encore assez rudimentaires. Et pour ceux qui veulent poursuivre, le film a fait l’objet d’une suite, Tron: Legacy, en 2010!
Wargames (1986)
En faisant joujou sur son ordinateur, le jeune geek David, entre en communication avec un logiciel super intelligent des forces armées américaines qui guette toute menace nucléaire. L’adolescent pense être face à une sorte de tic tac toe et va bel et bien déclencher une troisième guerre mondiale. Tic, tac, tic, tac… Ce film de John Badham est une immense tranche de plaisir typique des années 1980. Du même cinéaste, on vous recommande aussi le craquant Short Circuit, avec l’adorable Number 5, qui est un peu l’ancêtre de Wall-E.
Ghost in the Shell (1995)
Plutôt que son remake américain de 2017, on vous recommande l’original japonais, un film d’animation réalisé par Mamoru Oshii. Adapté d’un manga, ce conte cyberpunk imagine un monde de 2029 où la frontière entre l’humain et la technologie a été abolie. Cyborgs cybercriminels, réflexions métaphysique et maestria visuelle sont au rendez-vous. Culte!
A.I. Artificial Intelligence (2001)
Un incontournable sur le sujet, assurément. Stanley Kubrick avait travaillé sur le projet avant que Steven Spielberg n’en reprenne les rênes. Dans le futur, le réchauffement climatique fait des ravages, et humains et androïdes ultra-perfectionnés cohabitent, ces derniers étant aux services des humains. Une famille adopte un enfant robot pour compenser l’absence de son fils dans le coma… jusqu’à ce que celui-ci se réveille. Un film qui questionne profondément et douloureusement l’IA à travers le spectre de la conscience et des sentiments.
WALL-E (2008)
L’intelligence artificielle la plus sympathique, et un des meilleurs films de Pixar, ici réalisé par Andrew Stanton. Wall-E est le dernier être “vivant” sur une Terre ravagée par les hommes. Son quotidien de ramasseur d’ordure va être bouleversé par l’arrivée d’Eve, alter-ego hi-tech et beaucoup plus design. À voir et à revoir immodérément, avec ou sans enfants, ne serait-ce que pour sa première demi-heure sans dialogue d’une beauté à couper le souffle.
Her (2013)
Dans un futur proche, un duo d’amis qui viennent tous deux de divorcer de leurs conjoints trouvent un refuge affectif en installant un nouveau système d’exploitation muni d’une intelligence artificielle qu’ils personnalisent. Le héros, Théodore, va ainsi tomber amoureux de Samantha, créature virtuelle. Mais celle-ci dépasse bien vite les capacités de l’être humain et se désintéresse de celui-ci… Avec sensibilité, le film de Spike Jonze questionne l’avenir des émotions et du romantisme à l’ère de l’IA.
Ex Machina (2014)
Le premier long métrage d’Alex Garland (Annihilation) est un vrai coup de maître. Le jeune Caleb, programmeur informatique dans une grosse compagnie, est invité par son patron dans sa résidence pour participer à une sorte de test de Turing : il va être confrontée à Ava, un chef d’oeuvre d’intelligence artificielle qui a tout d’une vraie femme, et va devoir déterminer si celle-ci a une conscience. Un huis clos magnifiquement réalisé et prenant de bout en bout, qui aborde subtilement les grandes questions soulevées par l’IA.
Robot and Frank (2012)
Sympathique vision de l’avenir de l’aidant artificiel, ce film peint un portrait tendre des liens qu’on peut développer avec l’IA. Un ancien cambrioleur, solitaire et souffrant des premiers stades de la démence, reçoit un robot infirmier en cadeau de la part de son fils. Frank et Robot nouent une relation en dents de scie qui amènera le premier à prendre ses médicaments sans rechigner, et le second à s’initier au vol de bijoux.
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