Entretien avec le grand boss du MIGS16 !

On ne s’en rend pas compte mais c’est un travail de planification et d’organisation qui prend l’année. On finit le MIGS, on fait un post-mortem et on commence déjà la préparation du prochain. Il n’y a pas beaucoup de temps mort.

On n’a pas le choix de s’y prendre d’avance. Des compagnies comme Microsoft ou Sony prévoient longtemps d’avance leur présence dans les conventions et les expos. Alors pour être sûr de les avoir, il faut travailler d’arrache-pied.

Et le nombre d’intervenants, d’exposants et de participants cette année ?

Sur le plancher, incluant l’espace affaire, on a 88 exposants et 43 indépendants. Donc ça fait quand même une somme considérable de personnes qui présentent leurs projets ou leurs produits.

Dans l’espace affaire, on a plus de 450 participants incluant une soixantaine d’acheteurs étrangers.

Est-ce qu’il y a des nouveautés au MIGS16 ?

Il y a le technical lounge. Les gens qui participent à l’expo peuvent avoir des échanges avec des seniors pour trouver des solutions techniques à leurs problèmes.

On a aussi le concours indie pitch qui va permettre aux indépendants de gagner, entre autres, 5000 $ offerts par Loto Québec.

Et autrement, il y a l’espace emploi avec Espresso-jobs où les gens peuvent faire des entrevues directement sur place. C’est une bonne offre tant pour les recruteurs que les candidats de se rencontrer dans un contexte plus intime que celui des kiosques.

Que prévoyez-vous pour le MIGS dans le futur ?

J’ose espérer qu’un jour on pourra ouvrir les portes à plus de gens, qui ne sont pas nécessairement directement relié à l’industrie, pour leur permettre de voir ce que font les compagnies d’ici et d’ailleurs .